Les Preuves Historiques et Cabalistiques de l'Existence de Jésus

La symétrie miroir, l'outil magique des chercheurs de vérité

   Jésus-Christ a-t-il vraiment existé ? Jésus est il un personnage historique ?

   Les documents du Nouveau Testament sont les textes les plus anciens que nous ayons sur Jésus. Ils présentent tous Jésus comme ayant réellement existé.

   Après le Nouveau Testament, les écrits des Pères apostoliques et des Pères de l'Église apportent leurs témoignages à la fin du 1er siècle et début du 2éme siècle.

   On peut citer par exemple :

   Justin Martyr (100 - 165) : Philosophe qui est devenu chrétien, et qui est mort martyr décapité. Il écrit à l'empereur Antonin le Pieux vers 150 :

   À propos de la crucifixion de Jésus : "« Vous pourrez vous assurer que les faits sont véridiques en consultant les actes qui furent enregistrés sous Ponce Pilate... » (Apologie I, 35.7-9) 

   À propos des miracles de Jésus : « Vous pourrez facilement vérifier qu'il a réellement accompli ces miracles en lisant les actes de Ponce Pilate. » (Apologies I, 48.3) 


   Certains témoignages non chrétiens sont établis comme des preuves indirectes, comme par exemple :

   Manuscrit Syriaque n° 14658 du British Muséum (date de 73 environ)

   Lettre envoyée par un Syrien nommé Mara Bar-Serapion, à son fils Serapion. Alors qu'il est en prison, il encourage son fils à poursuivre la sagesse, soulignant que ceux qui ont persécuté les sages ont eu des problèmes. Il prend comme exemple les morts de Socrate, Pythagore et Christ. À propos de Christ il dit :

   « ...quel avantage les Juifs ont-ils gagné à exécuter leur roi sage ? Leur royaume fut anéanti peu après... »


   Il est important de noter du point de vue de l’histoire romaine du 1er siècle, Jésus était insignifiant, il était considéré comme un petit prédicateur, un faiseur de miracles et exécuté par un petit gouverneur.
   Une  raison explique le peu d'intérêt de la part des romains pour Jésus : il s'est surtout opposé aux religieux juifs de son époque, et non aux romains.

   Il est avéré que tous les mouvements religieux sont souvent mis par écrit des générations plus tard.

   Voici quelques exemples :

  • Le Gathas de Zoroastre, daté d'environ 1000 av. JC, est jugé authentique bien que la plupart des écrits zoroastriens aient été rédigés après le IIIème ap. JC.
  • Les écrits de Bouddha, qui vivait au VIème av. JC n'ont été rédigés qu'après l'ère chrétienne et la 1ère biographie de Bouddha au 1er ap. JC.
  • La biographie de Mahomet (570 – 632 ap. JC) n'a pas été écrite avant 767 soit plus de 130 ans après sa mort.

   Dans le cas de Jésus, "il y a une meilleure documentation historique que pour les fondateurs de n'importe qu'elle autre religion de l'antiquité (même le Talmud fait référence d’une manière hostile)...
   La situation de Jésus est donc unique en son genre, et assez impressionnante quand on considère tout ce qu'on peut apprendre de lui en dehors du Nouveau Testament".

   Voici une affirmation de La Grande Encyclopédie Larousse : « Les historiens sérieux sont unanimes à affirmer sans hésitation que Jésus a bien existé» (Tome 11, p 6699)

   Des faits existent et s'enchaînent, attestés par des témoignages plus nombreux qu'on ne le croyait jusqu'à présent. Jésus apparaît comme faisant le lien entre le judaïsme sacerdotal ancien et le christianisme, lequel prend son essor notamment à partir de Paul. Et dans cette histoire, Jésus garde sa part de mystère, dans ce mystère la kabbale des lettres trouve sa place, il ne s’agit pas pour la symétrie miroir d’expliquer l’inexplicable mais de rendre compte simplement qu'il existe des liens cabalistiques pour en faire une lecture adaptée afin de comprendre l’existence réelle de Jésus.

    À partir de cette expression, nous allons étudier les preuves cabalistiques de l’existence de Jésus : PREUVES DE L’EXISTENCE DE JESUS.

   Nous allons soumettre les deux tables de 1 et 9 pour notre recherche cabalistique :

   Table : Preuves de l'existence de Jésus

   Preuves de l'existence de Jésus

   TROIS = 333 : la magie des trois un sceau d’authenticité pour cette recherche cabalistique.

   LES PREUVES HISTORIQUES DE JESUS CHRIST = 333 : les nombres palindromes sont les avocats de l’existence de Jésus.

   CERTIFIER = 666 : en effet la symétrie miroir authentifie à travers la magie des trois l’existence de Jésus.

   CERTIFICAT = 666 : le nombre six cent soixante-six atteste la clé historique de Jésus.

   ACTÉES = 666 : les preuves de la symétrie miroir valident l’existence de Jésus.

   ARBITRER = 666 : le nombre six cent soixante-six et les mots permettent de juger la véracité historique de la vie de Jésus.

   AUTHENTIFIE = 999 : la symétrie miroir certifie l’existence de Jésus.

   IDENTIFIER = 999 : la méthode cabalistique de la symétrie miroir est de découvrir la vérité.

   EXPLICITE = 999 : les nombres et lettres formulent avec précision l’existence de Jésus.

   GARDE-FOU = 999 : la magie des trois empêche le chercheur de vérité de faire des erreurs.

   DÉCODE = 999 : la gématrie permet de décrypter l’existence de Jésus.

   VIE = 333 : la magie des trois donne la preuve de son existence.

   JÉSUS EST NÉ JUIF = 1332 (666x2) : la symétrie miroir certifie son origine de naissance.

   HÉBREU = 666 : Jésus est né parmi le peuple hébreu, un constat cabalistique.

   Palestine 

   BIBLIQUE = 999 : cette étude concerne effectivement le Jésus de la Bible.

   DIEU SAUVE = 999 : Jésus, un nom porté par de nombreux juifs en Judée à l’époque romaine. 

   LE VRAI MESSIE = 1332 (666x2) : Jésus celui qui a reçu l’onction, soit le messie, titre donné à l’envoyé de Dieu qui doit sauver Israël.

   LE ROI = 666 : Jésus a dit : Matthieu 28:18-20 : « Tout pouvoir m'a été donné dans le ciel et sur la terre. Allez, faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, et enseignez-leur à observer tout ce que je vous ai prescrit. Et voici, je suis avec vous tous les jours, jusqu'à la fin du monde. » La toute-puissance appartient à Jésus. Matthieu 27:37 : Ils placèrent aussi au-dessus de sa tête le motif de sa condamnation ainsi libellé « Celui-ci est Jésus, le roi des Juifs ».

   JÉSUS CHRIST C'EST LE ROI BIBLIQUE = 2664 (666x4) : Apocalypse 1.8 « Je suis l’alpha et l’oméga dit le Seigneur Dieu, celui qui est, qui était, et qui vient, le Tout-Puissant ».

  LIGNÉE BIBLIQUE = 222 : de Adam à Abraham, d’Abraham à David et de David à Jésus.

  LA DESCENDANCE DE DAVID = 333 : Mt-1.20 : « Voici de quelle manière arriva la naissance de Jésus-Christ. Marie, sa mère, ayant été fiancée à Joseph, se trouva enceinte, par la vertu du Saint-Esprit, avant qu’ils eussent habité ensemble. Joseph, son époux, qui était un homme de bien et qui ne voulait pas la diffamer, se proposa de rompre secrètement avec elle. Comme il y pensait, voici, un ange du Seigneur lui apparut en songe, et dit : Joseph, fils de David, ne crains pas de prendre avec toi Marie, ta femme, car l’enfant qu’elle a conçu vient du Saint-Esprit ; elle enfantera un fils, et tu lui donneras le nom de Jésus ; c’est lui qui sauvera son peuple de ses péchés. Tout cela arriva afin que s’accomplît ce que le Seigneur avait annoncé par le prophète : Voici, la vierge sera enceinte, elle enfantera un fils, et on lui donnera le nom d’Emmanuel, ce qui signifie Dieu avec nous. »

   FILIATION DIVINE = 1665 (333x5) : Jésus est venu dans ce monde comme un nouvel Adam capable de communiquer une nouvelle vie à ceux qui se confient en lui. Il est donc possible pour l’homme de retrouver sa virginité spirituelle par la puissance et la grâce de celui qui est né d’une vierge : Jésus-Christ, Fils de Dieu.

   JÉSUS L'ENFANT NÉ DIVIN = 2331 (777x3): l’Emmanuel, Dieu est avec nous.

   DÉITÉ = 666 : Être divin, Jésus une personne divine.

   LA NAISSANCE VIRGINALE DE JÉSUS = 3303 : elle est prophétisée dans l’Ancien Testament, puis attestée et proclamée par le Nouveau Testament. Le Saint Esprit a utilisé des prophètes puis des témoins oculaires pour porter à notre connaissance cet aspect miraculeux de la naissance de Jésus (Isaïe 7.14). La naissance virginale de Jésus était nécessaire pour qu’il demeure « Fils de Dieu » en devenant homme. Son humanité ne porte pas atteinte à sa divinité. Le Nouveau Testament donne aux croyants le statut d’« enfants de Dieu », mais il accorde à Jésus Christ le titre de « Fils unique de Dieu » (Jean 1.14 ; 3.16 ; etc.) Si nous éclipsons la naissance virginale de Jésus, sous prétexte que ce miracle dérange intellectuellement un grand nombre de personnes, nous offensons la Vérité. Renier la Vérité, ne serait-ce que sur un seul point, c’est accepter l’erreur et le mensonge. Nous ne devons avoir de puissance que pour la Vérité (2 Corinthiens 13.8).

   CROYANCE = 999 : comme pour tout article de foi, nous avons besoin d’être éclairés par le Saint-Esprit pour parvenir à une foi solide et sereine. Mais l’Esprit Saint n’est pas resté inactif et silencieux pour nous faire parvenir à cette foi. À travers toute la Bible, le Saint-Esprit a inspiré des textes qui nous préparent à croire en la naissance miraculeuse de Jésus.

   TRENTE = 666 : les Evangiles retracent particulièrement la vie de Jésus lorsqu'il atteint l'âge de 30 ans environ, au moment où commence son ministère. Jésus débuta en se faisant baptiser dans le Jourdain par un dénommé Jean Baptiste.

   TROIS = 333 : son ministère dura 3 ans.

   TRENTE TROIS = 999 : Jésus Christ fut supplicié et mourut la veille de la fête de la Pâques, c'est-à-dire un vendredi. Il avait 33 ans, certifié par la magie des nombres.

   OBJECTEUR = 999 : un texte de l’évangile selon Saint Marc relate le récit d’une des rencontres de Jésus avec un lépreux. Selon la loi de Moïse qui se trouve dans le livre de Lévitique, toute personne atteinte de la lèpre est exclue de la communauté, de la société des « bien portants », puisqu'elle est, dès lors, considérée comme impure. Le lépreux engage une conversation avec Jésus par une demande précise « si tu veux tu peux me purifier » Jésus ne reste pas insensible à la souffrance de cet homme. En effet, la souffrance du lépreux n'est pas seulement physique, mais elle est aussi sociale, puisqu'il est séparé de la communauté civile et spirituelle, puisqu'il est séparé de Dieu. C'est pourquoi Jésus est pris de pitié. Il fait, lui aussi, un geste et prononce une parole qui répond positivement à la demande du malade : « Je le veux, sois purifié ». Comme le lépreux, il enfreint la loi en posant sa main sur cet intouchable. Ce qui était jusqu'alors inconcevable, Jésus vient de le réaliser. Il vient d'introduire une vraie nouveauté et une vraie révolution. Toucher un lépreux était synonyme d'excommunication pire que la mort. Et tout justement, ce Jésus sera mis à mort, plus tard, pour avoir osé contester les idées reçues de son époque. Jésus veut aussi montrer qu'il est Fils de Dieu et, en tant que tel, il est maître de la loi. Puisque ce lépreux souffrant a besoin de guérison, d'amour et d'affection, la loi de Dieu ne peut pas s'opposer à son bien-être. Ce qui signifie que certaines lois civiles et religieuses excluent. Il est important de comprendre que toutes les lois qui sont votées ne sont pas toujours bonnes pour tout le monde. Jésus introduit un cas d'objection de conscience, voire peut-être de désobéissance civile et religieuse.

   MARGINAL = 999 : Jésus-Christ a été à son époque le Marginal par excellence, il a été rejeté par son peuple et de tous les incroyants, il fut mis à mort sur la croix. Mais il a aidé tous ceux qui ont soif de vie à se marginaliser de ce monde de corruption pour atteindre la lumière de son Royaume.

   PRÉDICATEUR = 999 : le cheminement d’un homme possédant une Grande Âme venue éclairer un monde où le matérialisme tuait les vraies valeurs et le Véritable Enseignement Originel. Jésus s’attaquant aux marchands dans le Temple  en est l’exemple typique.

   EFFRAYANT = 999 :  l’atrocité du mal, un poids effrayant à supporter. Pourtant le Christ nous dit : « Vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, venez à moi, et moi, je vous procurerai le repos ». C'est à chacun d'entre nous qu'il s'adresse et en même temps à tous les hommes : c'est l'universalité du monde.

   Couronnement d'épines

 
  LA SOUFFRANCE EFFRAYANTE DE JÉSUS = 3330 :  D’après les historiens, la crucifixion était précédée par la flagellation du condamné, pratiquée avec un fouet à manche court prolongé par deux lanières de cuir terminées par des billes de plomb ou des osselets. La croix se composait de deux parties. L’horizontale était insérée sur la partie supérieure effilée du tronc, réalisant un tau-grec (T). L’élément vertical mesurait d’ordinaire deux mètres, mais pouvait aller jusqu’à cinq mètres quand l’exécution revêtait une certaine solennité. Il arrivait qu’on prolonge le supplice en fixant à mi-hauteur du tronc une sellette en bois (sedilium) sur lequel le supplicié reposait à califourchon ou même assis. Plus bas, une console (suppedaneum) permettait au supplicié de poser les pieds, manière de prolonger encore la vie du supplicié. En haut de la croix était cloué un écriteau sur lequel figurait le nom du condamné et le motif de sa condamnation. Le lieu désigné des exécutions judiciaires se remarquait à première vue tant il apparaissait comme une forêt de croix.

   Le condamné parcourait à pied le trajet séparant le tribunal ayant prononcé la sentence et le lieu du supplice. Il portait le madrier horizontal de la croix, le patibulum, lequel pesait entre 50 et 80 kg.

   La fixation du supplicié à la croix était réalisée soit par des cordes, soit plus généralement par des clous. Arrivé devant le tronc vertical de la croix, il était couché auprès du patibulum, les bras écartés afin que par les poignets ou par l’enclouage dans la région du carpe de la main, il y soit fixé par des clous de charpentier d’une longueur de 15 à 17 cm.

   Le patibulum était ensuite posé et fixé au sommet du tronc de la croix. Le bourreau fixait les membres inférieurs du condamné au tronc de la croix, par un clou traversant les métatarses superposés des pieds du supplicié. Le crucifié, les bras levés en position d’inspiration, subissait pour commencer une gêne respiratoire. L’oxygénation se réduisait, les crampes apparaissaient, une sudation abondante accompagnaient la lente et progressive asphyxie. La mort survenait après une longue agonie qui durait plusieurs heures, voire une journée.

   La sépulture n’étant pas accordée systématiquement, les lambeaux des crucifiés étaient dévorés par les chiens et les oiseaux. Quand la sépulture était accordée elle était encore conditionnée par le « coup de grâce », donné à l’aide d’une lance ou d’un javelot (pilum) porté sur la poitrine, pour s’assurer de la mort du condamné, avant la livraison du corps.

   Jésus fut enseveli à la manière juive (Jn 19, 40), dans un tombeau creusé dans le jardin de l’un de ses amis.


   LA TORTURE DE JÉSUS LE CHRIST SUR LA CROIX = 3330 : Jésus a vraiment souffert pour tous les péchés du monde.

   Croix

   ISRAÉLITES MAUDISSENT = 222 : une phrase malheureuse citée par l’évangile selon Mathieu 27 : « Pilate, voyant qu’il ne gagnait rien, mais que le tumulte allait croissant, prit de l’eau, et se lava les mains devant le peuple, en disant : Je suis innocent du sang de ce juste ; c’est à vous de voir. Et tout le peuple répondit : Que Son sang retombe sur nous et sur nos enfants ! Alors il leur délivra Barabbas, et après avoir fait flageller Jésus, il Le leur livra pour être crucifié. »

   OFFRANDE = 999 : Christ a livré tout à la fois son corps et son âme, Il s’est offert dans son Être tout entier. Il a livré son corps : en instituant la Cène, Il dit à ses disciples lorsque, ayant rendu grâces, Il leur présente le pain qu’il a rompu : « Ceci est mon corps, qui est donné pour vous... » (Luc 22:19).

   JÉSUS L'AGNEAU IMMOLÉ = 2331 (3x777) : Jésus dit : « le Fils de l’homme lui-même n’est pas venu pour être servi, mais pour servir et pour donner sa vie en rançon pour la multitude » (Mt 20, 25-28).

   LA BREBIS IMMOLÉE = 222 : l’âme Christique a donnée sa vie pour sauver tout ce qui était perdu.

   La brebis immolée 

   TUNIQUE = 666 : Évangile selon Saint Jean. 19, 23-24 :
« Puis les soldats… prirent les vêtements de Jésus et firent quatre parts, une part pour chaque soldat, et la tunique. or la tunique était sans couture, tissée d’une pièce à partir du haut ; ils se dirent donc entre eux : « ne la déchirons pas, mais tirons au sort qui l’aura » : afin que l’écriture fût accomplie : « Ils se sont partagé mes habits, et mon vêtement, ils l’ont tiré au sort ». voilà ce que firent les soldats. »

   VICTOIRE = 666 : Rendons grâce à Jésus Christ Notre Seigneur il nous a délivrés du pouvoir des ténèbres.

   LA VICTOIRE DE JÉSUS CHRIST SUR LA CROIX = 3033 : L’épître aux Hébreux nous dit : « Puis donc que les enfants ont eu part au sang et à la chair, lui aussi semblablement y a participé, afin que, par la mort, il rendît impuissant celui qui avait le pouvoir de la mort, c’est-à-dire le diable ; et qu’il délivrât tous ceux qui, par la crainte de la mort, étaient, pendant toute leur vie, assujettis à la servitude » (2:14, 15)Quel bonheur pour nous d’apprendre que, par sa mort, Jésus a rendu impuissant celui qui nous tenait dans la servitude !


  La magie des trois doit valider cette étude sur les preuves cabalistiques de l’existence de Jésus :

  LE NOMBRE SIX CENT SOIXANTE-SIX CODE L'EXISTENCE DE JÉSUS LE CHRIST = 6066 : un certificat authentifié.