I.N.R.I

Jésus de Nazareth Roi des Juifs

      Ces quatre lettres qui figurent traditionnellement au sommet de la Croix du Christ ont été interprétéés de diverses manières.

Christ - INRI

    
      Le sens généralement adopté par les exégètes chrétiens semble le plus justifié. Ils se réfèrent en effet au texte des quatre Evangiles qui s'accordent sur la nature de l'inscription inscrite au-dessus de la tête du Crucifié.

      Ces quatres lettres résumeraient la phrase suivante : Jésus Nazarareus Rex Judaeorum ou
Iésus Nazarenus Rex Iudaeorum, c'est à dire : Jésus de Nazareth Roi des Juifs.

      Mais les
Évangiles précisent tous que ces mots étaient rédigés en hébreu, en grec et en latin.

 
      Dans les rituels de la Maçonnerie écossaise, au grade de Chevalier Rose-Croix, les réponses du récipiendaire aux questions suivantes donnaient une clef de l'étrange inscription :

      Q - D'où venez-vous ?
      R - De la Judée (J ou I).

      Q - Par quelle ville êtes-vous passé ?
      R - Par Nazareth (N).

      Q - Qui vous a guidé ?
      R - Raphaël (R).

      Q - De quelle tribu êtes-vous ?
      R - de Juda (J ou I).

      Ensuite, toujours durant le rite d'initiation, le futur Chevalier découvre le mot sacré : I.N.R.I. Le « Très Sage » lui en explique la signification symbolique, non sans avoir énuméré d'autres sens qu'il convient de rejeter. Pour la Rose-Croix maçonnique le mot signifie : Igne Natura Renovatur Integra : La Nature est renouvelée intégralement par le feu.

      C'est pourquoi il me parait bon de mettre les choses au clair à propos de cette phrase inscrite au-dessus de la Croix.

      Selon Matthieu 27,37 - Marc 15,26 - Luc 23,38 et Jean 19,22 -  Cet écriteau déclare de façon explicite que Jésus est le Roi des Juifs, désigné par Dieu, ce qui est déjà une provocation pour les prêtres juifs.

  •     pour Matthieu : celui-ci est Jésus, le Roi des Juifs.
  •     pour Luc : celui-ci est le Roi des Juifs.
  •     pour Marc : le Roi des Juifs.
  •     pour Jean : Jésus de Nazareth, le Roi des Juifs.


      Pendant des siècles on s'est arrêté sur l'inscription en latin I.N.R.I, qui est devenue la norme, seul St Jean parle d'une contestation entre Pilate et les prêtres juifs et précise que l'écriteau était écrit en hébreu, latin et grec. Pilate répondit au grand prêtre : ce qui j'ai écrit, je l'ai écrit (Jean 19,22).



      La symétrie miroir avec son vocabulaire cabalistique « le français » doivent apporter une conformité par rapport à la rédaction de Jean : « Jésus de Nazareth, Roi des Juifs ». 

    Table : Jésus de Nazareth Roi des Juifs

    PHRASE = 666 : effectivement, cette phrase rédigée par Pilate sur la Croix « Jésus de Nazareth, Roi des Juifs » : la symétrie miroir authentifie cette phrase, elle est trois fois juste.

    LA CROIX 666 : le certificat de la symétrie miroir et de la kabbale française ; l'inscription « I.N.R.I » est bien marquée sur la croix du Christ.

    HÉBRAÏQUE = 999 : cette phrase écrite en hébreu fut une indignation pour les juifs « Roi des Juifs » provoque leur fureur car, évidemment, c'est un blasphème d'assimiler un homme à Dieu.

    EXPRESSION = 999 : cette expression fut un affront au niveau de l'intellect et de l'esprit hébraïque.

    DE PILATE = 999 : cette phrase fut écrite par Pilate : « ce que j'ai écrit, je l'ai écrit » (Jean 19,22), un affront eu grand prêtre.

    EXPRESSION DE PILATE = 1998 : il est d'une grande évidence que Ponce Pilate a bien gravé sur le titulus « Jésus de Nazareth, Roi des Juifs » cette triple preuve par le multiple du nombre six cent soixante six prouve que Jésus a été mis en croix en tant que criminel politique, exécuté par la sentence du procurateur romain de Judée.

    I.N.R.I - Hébreu, Grec, Latin = 1998 : confirmation : St Jean précise que l'écriteau était écrit en hébreu, en grec et en latin : (Jean 19,22).

   

  

  

. Il n'existe pas actuellement une solide documentation exacte du texte hébreu, voici une traduction moderne selon certains chercheurs :

  •        Yeshouah hanaziyr oumélek hayehoudiym
  •        Yeshoua' Hanazir Wemelekh Hayehoudim


     
Une traduction correcte avec l'hébreu moderne peut-être étudiée par la symétrie miroir.